Simples séparations permettant une répartition plus ou moins flexible de l’espace, parois vitrées ou translucides, portes coulissantes de grande largeur, voire paravents déplaçables à hauteur réduite, leurs fonctions et aspects sont multiples. Elles ont en commun de pouvoir être supprimées ou déplacées avec un minimum de contraintes.
> Les cloisons se classent en quatre catégories : les cloisons sèches, à ossature bois, métal ou matériaux alvéolés
> les cloisons dites à matériaux humides (brique, plâtre, béton);
> les cloisons vitrées et les coulissantes
Les cloisons sèches sont constituées de plaques de parement en plâtre, bois, brique, ou autres matériaux et sont clouées ou vissées de part et d’autre d’une ossature dans laquelle il est courant de placer une âme isolante acoustique ou thermique. Ces cloisons ont l’avantage d’être démontables et déplacées facilement.
Les cloisons à matériaux humides sont constituées de petits éléments empilés à l’aide d’un mortier ou d’une colle. Ces éléments sont souvent constitués de terre cuite (briques), de béton cellulaire (parpaings) ou carreaux de plâtre.
Ces cloisons peuvent aussi être en planches (afin de constituer des cloisons courbes) ou en panneaux de bois. Elles sont ensuite badigeonnées de plâtre.
Les cloisons en verre peuvent être très utiles pour éclairer une pièce aveugle.
Les cloisons en pavés de verre possèdent une indéniable beauté plastique qui a été exploitée par les plus grands architectes.
Les cloisons vitrées laissent totalement ou partiellement passer la lumière. Elles agissent comme une baie vitrée intérieure. Elles peuvent aussi servir de parement.
Les cloisons mobiles peuvent s’ouvrir par articulation ou par translation. Elles sont constituées d’une cloison à ossature suspendue sur un rail ou s’ouvrant en accordéon.
Les cloisons en verre du futur pourront prendre des formes gauches et être décorées de mille couleurs. La tendance est aux cloisons intégrant un placard ou une bibliothèque afin de gagner de l’espace.
