Choisir la bonne lessive est essentiel pour un linge propre, mais cela impacte aussi votre santé et l’environnement. Certaines marques populaires, pourtant largement utilisées, cachent des risques insoupçonnés. Une enquête révèle que plusieurs de ces produits sont à éviter absolument. Lisez ce qui suit pour connaître les références à bannir et les alternatives plus sûres !
Les dangers cachés dans certaines lessives
Quand il s’agit de laver votre linge, l’efficacité est importante, mais la sécurité aussi. Le marché regorge de lessives qui semblent efficaces, mais qui, en réalité, contiennent des substances potentiellement dangereuses. Selon une étude menée par 60 Millions de consommateurs, certaines lessives sont classées parmi les pires produits à utiliser pour préserver votre santé et l’environnement.
Quelles lessives faut-il absolument éviter ?
Après avoir analysé une trentaine de produits, les enquêteurs ont identifié quatre lessives en particulier qui posent problème. Ces produits sont classés dans la catégorie E, la pire note, en raison de leur impact négatif sur la santé et l’environnement. Voici les références à ne surtout pas choisir :
- Omo Essences naturelles, rose et lilas blanc
- Persil au savon de Marseille
- Bouquet de Provence XTra Trois en Un, au savon de Marseille
- Ariel Power Alpine
Pourquoi ces lessives sont-elles dangereuses ?
Les experts déplorent la présence d’ingrédients irritants et potentiellement toxiques dans ces lessives. Parmi les substances inquiétantes, on retrouve des enzymes irritantes, des thiazolinones et du sodium laureth sulfate. Ces composés peuvent provoquer des allergies et des irritations de la peau, et leur présence dans les produits d’entretien nuit aussi à l’environnement.
Que choisir à la place ?
Si vous souhaitez une alternative plus sûre, il est recommandé de privilégier les lessives en dosettes, qui contiennent moins de conservateurs et de produits chimiques agressifs. Parmi les meilleures options, les dosettes de Xéor se distinguent, obtenant une note de 15/20 dans cette étude.
Sources :